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    Sitting Bull ou nom indien Tĥatĥanka Iyotĥanka ou bien Tatanka Yotanka (mars 1831-15 décembre 1890), est un chef de tribu et homme médecine des Sioux Hunkpapas ; il est un des principaux résistants face à l'armée américaine. Son nom en lakota signifie « bison mâle qui se roule dans la poussière ». Sitting Bull peut se traduire par « Taureau Assis » ou « Taureau au repos » en français.

    Il est né à Bullhead dans la région de Grand River dans le Dakota du Sud en mars 1831. Sitting Bull était cependant initialement nommé Hoká-Psíče (« Jumping Badger », blaireau bondissant), qui était un nom temporaire, et reçut le nom de son père, Sitting Bull, quand il était adolescent.

    Le surnom d'Húŋkešni (« lent ») lui est parfois donné à cause de son habitude à prendre son temps avant de répondre à une question. En 1857, il adopte son neveu "One Bull" après la mort de son propre fils. One Bull participera à toutes les batailles menées par Sitting Bull, le suivra en exil au Canada, et sera présent lors de son assassinat par la police indienne en 1890. Il tue son premier bison à l'âge de dix ans et marque son premier coup au combat à quatorze ans lors d'une bataille contre les Crows.

     L'histoire familiale de Sitting Bull est peu sûre, mais son premier mariage a eu probablement lieu en 1851 avec une femme nommée Pretty Door ou Light Hair (« Cheveux clairs »). En 1857, il a un fils qui meurt de maladie rapidement, et sa femme meurt pendant l'accouchement de celui-ci.

    Au moment de la mort de son fils biologique, il adopte son neveu One BullNote. Toujours en 1857, Sitting Bull a adopté un jeune Assiniboine comme son frère, et il s'est appelé Jumping Bull en hommage au père de Sitting Bull.

    Il prend une part active aux guerres des plaines des années 1860, y compris un raid contre Fort Bufford en 1866.

    Il accepte le déplacement de son peuple le 2 juillet 1868 prévu au traité de Fort Rice. Ce traité fut signé après la visite chez les Sioux (le 20 juin 1868) par le père De Smet (père jésuite belge qui évangélisa des milliers d'Indiens). Après la rupture du traité provoqué par les États-Unis, il dirige le soulèvement sioux. Il est rejoint par des tribus cheyennes et, ensemble (1500 guerriers et 4500 civils), ils anéantissent sous sa direction les 263 hommes du général Custer à la bataille de Little Big Horn le 25 juin 1876. Sitting Bull ne participe pas lui-même à la bataille car il est homme-médecine, mais confie le commandement à ses chefs de guerre Crazy Horse, Gall et autres.

    Poursuivi par l’armée américaine, il est forcé de s’enfuir au Canada (à Lebret, dans la province de la Saskatchewan, plus précisement à la Montagne des Bois, chez Jean-Louis Légaré, qui les a pris à sa charge durant tout leur séjour. C'est aussi lui qui à convaincu Sitting Bull de retourner aux États-Unis). En 1880, il refuse de se rendre à une délégation américaine venue l'y rencontrer. Sitting Bull et son peuple se rendent en 1881 à Fort Randall (Dakota du sud). Après deux années d'emprisonnement, il est conduit à la réserve de Great River.

    Il participe au Wild West Show de Buffalo Bill en 1885 aux Etats-Unis et au Canada, il ne sera pas autorisé à se rendre en Europe, puis il passe les dernières années de sa vie dans la réserve de Great River au Dakota.

    Le 15 décembre 1890, son fils Pied de Corbeau et lui meurent assassinés par des membres de la police indienne sous prétexte de résistance alors qu’ils venaient l’arrêter pour sa participation présumée à un mouvement de protestation. Sitting Bull fut accusé par le général Miles d'être à l'origine de la "Ghost dance" (Danse des esprits) qui depuis l'automne regroupait de plus en plus d'Indiens. Sitting Bull fut tué par "Bull Head", lui-même tué par "Catch the bear". Hormis Sitting Bull et son fils, sept partisans et cinq policiers perdirent la vie ce jour-là.

    Selon la légende sioux, une alouette lui avait annoncé sa mort en chantant : "Les Sioux te tueront".


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    Red Cloud, (en sioux: Makhpyia-luta en français Nuage rouge) né en 1821, mort le 10 décembre 1909 est un chef sioux.

    Chef des indiens sioux Oglalas, il n'est pas fils de chef mais le devient pour son courage et sa témérité. Il gagne de nombreuses batailles et incite de nombreux chefs sioux à faire de même pendant la « Guerre du Nuage Rouge » qu'il dirige de 1866 à 1868, guerre qui vise le retrait des forces armées de la piste Bozeman, la piste du Montana qui traverse le territoire sioux. Par le traité de Fort Laramie en 1868, il obtient l’abandon des forts militaires le long de la piste Bozeman ainsi que des garanties territoriales sur une réserve de 240 000 km² (comprenant la partie occidentale du Sud-Dakota, le nord du Wyoming et l’est du Montana). En 1876 et 1889, les Sioux furent cependant forcés de concéder la plus grande partie de ce territoire.
    Red Cloud ne prendra pas part ni aux affrontements de 1876, ni à ceux de 1890-91. Il meurt à 88 ans dans la réserve de Pine Ridge (Dakota du Sud).


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  • Geronimo né le 16 juin 1829 et mort le 17 février 1909, appelé à sa naissance Go Khla Yeh (celui qui baille), était un Amérindien apache qui a combattu le Mexique et les États-Unis.

     

     

     

    Né en Juin 1829 en Arizona dans la tribu des Apaches Bedonkohe à Nodoyohn Canyon, au Mexique (actuellement Clifton, Nouveau-Mexique)près de la Rivière Gila. Fils de Taa di tlish hn et de Gha den dini "Celle qui est traversée par la lumière", il n'a jamais été chef, mais en tant qu'homme-médecine (Chaman) et guerrier reconnu et respecté, il eut une grande influence sur les Apaches Chiricahuas. Après la mort de Tazha, le fils aîné de Cochise, Naiche, le second fils du vieux chef doit partager le contrôle de la tribu avec lui. Son beau-frère Juh était un leader de la tribu des Apaches Nednis. Il est appelé également Guu ji ya (l'astucieux).

    Géronimo est admis au conseil de guerre des Apaches Chiricahuas en 1846. En 1858, après le meurtre de sa mère, de sa femme et de ses trois enfants par l’armée mexicaine près d’un village appelé Kas-ki-yeh par les Apaches, il commence des raids de représailles en territoire mexicain. On dit que Geronimo a fait un rêve la veille du jour où les hommes blancs sont arrivés, il aurait rêvé que des hommes de couleurs blanches viennent sur leurs terres pour les exterminer. Il venge sa famille le 30 septembre, jour de la saint-Jérôme 1859. Les cris des Mexicains invoquant saint Jérôme (Géronimo ! Géronimo !) pour leur défense, l'inspirent et il prend alors son nom : Geronimo. Plus tard, lors d'une autre attaque surprise, les Mexicains tuent sa nouvelle épouse et son fils.

    En octobre 1862, il participe avec les chefs Cochise et Mangas Coloradas à la bataille d'Apache Pass. En janvier 1863, Mangas Coloradas malgré l'opposition de Géronimo, se rend dans la petite ville d'Apache Tejo pour y signer un traité de paix. Il y est torturé et assassiné. En 1871, après près de dix ans de guerre contre les États-Unis, les Apaches Chiricahuas, alors dirigés par Cochise, négocient un accord de paix se rendent sur les conseils de Tom Jeffords. Ils obtiennent la création d’une réserve sur leurs terres. En 1876, la réserve Chiricahua cependant est fermée par les autorités américaines. La plupart des Indiens sont déportés vers la réserve de San Carlos, aride et désertique mais Géronimo, Naiche et Juh réussissent à s’enfuir. Géronimo est arrêté l’année suivante au Nouveau-Mexique par l’agent John P. Clum et transféré à San Carlos. Libéré, il s’enfuit de la réserve quelques mois plus tard. Il gagne le Mexique où il vit de pillages, avant de regagner San Carlos en 1879.
    En septembre 1881, peu après la mort de Nochedelklinne, un leader spirituel apache tué par les soldats, Naiche, Géronimo et Juh s’enfuient à nouveau de leur réserve. Ils lancent de violentes attaques contre les colons blancs avant de s’évanouir dans les montagnes mexicaines. En novembre 1882, ils y abattent les 22 soldats mexicains du capitaine Juan Mata Ortiz.

    Les raids des Apaches débordent du côté États-Unis (en Arizona et Nouveau-Mexique) : en mars 1883, 26 colons américains sont tués. Le général George Crook est chargé de protéger la population blanche et entreprend de traquer les Apaches hostiles dans leurs repaires mexicains. Un camp découvert par les éclaireurs apaches de Crook est attaqué en mai 1883. Les leaders apaches acceptent alors le principe d’une reddition. En 1884 Geronimo s’établit de nouveau dans la réserve de San Carlos. Geronimo, en compagnie de Naiche et plusieurs membres de la tribu s'échappent plusieurs fois, vivant de pillages, avant de se rendre. L'arrestation brutale du guerrier Ka-ya-ten-nae le pousse à s'enfuir une nouvelle fois le 17 mai 1885 avec 35 hommes et 109 femmes et enfants. Depuis le Mexique, ses hommes lancent plusieurs raids meurtriers en Arizona et au Nouveau Mexique. Il est de nouveau retrouvé au Mexique par des éclaireurs Apaches en mars 1886. Pendant une conférence avec le général Crook, il accepte de regagner la réserve avec les soldats américains. Il se ravise plus tard et s’échappe dans les montagnes avec Naiche, une quinzaine de guerriers et quelques femmes et enfants.

     

     

    Crook ayant démissionné, c’est le général Nelson Miles qui est chargé de le poursuivre avec 5000 hommes et des milliers de volontaires. 3 000 soldats mexicains sont aussi mobilisés contre les Apaches au sud de la frontière. En marge de la poursuite de Geronimo, le général Miles fait déporter en Floride les Chiricahuas vivant en paix dans la réserve de San Carlos. Pendant plus de 5 mois, Geronimo et ses partisans réussissent à passer entre les mailles du filet, utilisant la surprise, la mobilité et les connaissances des Apaches des modes de survie dans des conditions extrêmes. La capacité à disparaître de Geronimo était attribuée selon son peuple à des pouvoirs de prémonitions qui l'avertissait de la présence de l'ennemi, pouvoir liés à son statut de chaman. Épuisé, fatigué de se battre, il finit par se rendre le 4 septembre 1886 avec 16 guerriers, 12 femmes et 6 enfants.

    « C’est la quatrième fois que je me rends » dit-il.

    Sur ordre spécial du président Grover Cleveland, il est placé sous surveillance militaire étroite en Floride avec 14 de ses braves. Le climat humide de la Floride s’avère malsain pour les Apaches habitués à celui du désert et plusieurs d'entre eux décèdent. Les survivants sont ramenés à Fort Sill, en Oklahoma, en 1887. Geronimo se convertit alors au christianisme et devient fermier. Il regrette cependant jusqu'à la fin de ses jours de s'être rendu. Il vend des souvenirs à la Louisiana Purchase Exposition en 1904, participe à la parade d'inauguration de Theodore Roosevelt en 1905.

     Les campagnes de guérilla de Geronimo restent un parfait exemple du genre. Ses facultés à exploiter des ressources humaines limitées et les terrains difficiles font de lui un stratège et un tacticien de premier ordre.

    Il dicte l’histoire de sa vie en 1906 avant de mourir d'une pneumonie à Fort Sill le l7 février 1909. Son dernier vœu est d'être enterré sur les terres de la Gila river. A ce jour, les démarches entamées par son arrière-petit-fils, pour respecter ses dernières volontés, n'ont pas encore abouties.



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    Eric Schweig est un acteur de cinéma et un artisan canadien actuellement établi à Vancouver. Il est né le 19 juin 1967 à Inuvik, dans les Territoires du Nord-Ouest. D'ascendance Inuit par sa mère et Déné / Ojibwé par son père, il fut adopté à six mois par une famille germano-canadienne. Il passa son enfance à Inuvik jusqu’à l’âge de six ans, puis vécu en Floride et à Toronto.


    À l’âge de 16 ans, Eric Schweig quitta sa famille adoptive et gagna sa vie comme travailleur de la construction. En 1987, alors qu’il avait tout juste 20 ans, il fut remarqué par un producteur de cinéma qui l’invita à auditionner pour un rôle dans La source du Chaman (The Shaman's Source, 1990). Sans aucune formation ni expérience d’acteur préalables, mais doué d’un réel talent naturel, Eric Schweig remporta l’audition. La source du Chaman lança ainsi sa carrière au cinéma.


    Parmi toutes les productions télévisées et cinématographiques auxquelles il a participé depuis (plus d’une trentaine), on notera tout particulièrement son interprétation d’Uncas dans le film à grand déploiement Le dernier des Mohicans (Last of the Mohicans, 1992), de même que son interprétation de Pike Dexter dans Big Eden (2000), qui lui value le grand prix du jury au Festival du film gai et lesbienne de Los Angeles.


    Parmi les nombreuses productions à caractère historique auxquelles il a participé suite au film Le dernier des Mohicans, Eric Schweig incarna le célèbre chef Mohawk Joseph Brandt / Thayendanega en 1993 dans La chaine brisée (The Broken Chain) où il tenait pour la première fois le rôle principal d’un film. Eric Schweig a également joué quelques premiers rôles marquants dans des films plus contemporains témoignants des problèmes sociaux vécues par les premières nations d’Amérique du Nord : Skins (2002), Cowboys and Indians: The J.J. Harper Story (2003) et One Dead Indian (2006).


    En parallèle à sa carrière d’acteur au cinéma, Eric Schweig entama dans les années 90 une démarche artistique lui permettant de renouer avec ses racines autochtones. Comme de nombreux inuits du Canada, Eric Schweig pratiquait depuis l’enfance la scuplture de petits objets sur bois ou sur pierre (personnages, kayak, etc.). Grâce au mentorat de l’artiste Vern Etzerza, il étudia la sculpture traditionnelle des Amérindiens de la côte du Pacifique puis resserra sa pratique sur la réinterprétation des masques spirituels inuits, en collaboration avec le maître sculpteur Art Thompson.


    La série de masques créée par Eric Schweig s’avère non seulement une tentative réussie de renouer avec ses origines et l'art inuit mais aussi une nécessaire œuvre de résilience face aux traumatismes de son enfance. En 1999, au Vancouver Inner City Foster Care Conference, Eric Schweig livra en effet un vibrant témoignage de sa douloureuse expérience d’adoption et de violence familiale. Conséquence funeste de ce déracinement et de cette maltraitance, Eric Schweig lutta pendant de nombreuses années contre sa dépendance à l'alcool et à la drogue.


    Sa célébrité d’acteur lui permis de témoigner de son expérience de vie lors de nombreuses conférences au Canada et aux États-Unis et d’ainsi sensibiliser le grand public à la cause autochtone pour la protection de l’enfance.

     

     

    "Adoption of aboriginal children by Caucasian couples is to me, for lack of a better term 'State Sanctioned Kidnapping.' Too often Euro-American couples are preoccupied with the romantic notion of having a "real live Indian baby" or a "real live Inuit baby" which instantly transforms the child into an object rather than a person. For decades our communities' babies have been unceremoniously wrenched from the hands of their biological parents and subjected to a plethora of abuses. Physical abuse, mental abuse, sexual abuse and a host of others.

    I have first-hand knowledge of this because I was one of those children. For years my adoptive parents beat me bloody on a regular basis. I've been trapped in rooms naked and beaten with belt buckles, hockey sticks, extension cords, and once with a horsewhip.

    I'm not saying this to shock you or to gain pity; I'm just stating fact. I eventually grew tired of living in a prison without walls and ran away when I was 16. What transpired between then and now has been a roller coaster of alcohol, drugs, violence, failed relationships, despair and confusion. Who am I? Where do I come from? Where is my family? Where do I belong? When life's mystery has been shattered by strangers watching over you, a lot of these questions are lost.

    There has been some good times as well, regardless, but for reasons that I've just started to understand, there has always been an impending sense of doom that controlled my actions and behavior, but now that I've been clean and sober for 8 months and actually started working on myself I'm beginning to step out of my father's shadow and into the light of day where life isn't so murky or such a struggle."


     

     

     

    "Florence Raddi never realized she had a cousin who was a rising movie star. But last week, when she met Eric Schweig from the "Last of the Mohicans", there was no question in her mind. He was her cousin. “ He looks like my uncle”, she said shortly after coming face to face with Schweig in the Brass Rail Lounge. Raddi was just one of several relatives who Schweig met for the first time. He left Inuvik at the age of six with his adoptive parents almost 20 years ago. Schweig was the natural son of former Inuvik and Yellowknife resident Margaret Thrasher.

     

    The name given to him at birth was Ray Thrasher. But at 6 months, he was adopted by a German father and French mother. His father was in the Navy and they moved from Inuvik to Bermuda. Schweig said his adoptive grandmother told him who his birth mother was. Than one day in Vancouver,where he now lives, he met Willie Thrasher on the street.The two got talking and before long Schweig realized he must be related to Thrasher. He said Thrasher hooked him up with his Aunt Agnes in Williams Lake, B.C. in the hopes of finding his mother. But three days later,his birth mother died and he was too late.

     

    Schweig said he had a strange feeling that he might never meet his mother after a dream he had when he was 18. In the dream he was walking towards a house where he could see a woman that he knew was his mother but when he was 5 feet from the open door it slammed shut. “I was crying when I woke up..it was so vivid”, Schweig said. He doesn’t know much about his mother but he has been told of her fondness for alcohol and that she looked after the homeless people in Yellowknife. “I would have liked to have met her’, Schweig said. He said the stories he has heard about her haven’t disappointed him.

     

    Schweig hasn’t found any of his brothers or sisters yet but he thinks if he keeps telling his story one of them are sure to hear it and get in touch with him. And while he will never meet his mother, last week’s return trip to Inuvik for Peter Gzowksi's Golf Tournament gave Schweig a chance to meet relatives and re-live some memories. After almost two decades,the trip back sparked some memories for Schweig, now 25. The memories are mostly of buildings such as the Igloo Church and Large Family Hall. “It’s strange, it’s like being in a new place”, said Schweig.”But some things are familiar.” One memory the return visit sparked was his first, and only day, at Sir Alexander Mackenzie school. “I was only there about two minutes and jumped on my desk and broke it”, laughed Schweig.”The teacher saw it and sent me home.

     

     

     

    ” Last week’s trip also roused a desire to spend time in the region meeting his relatives, learning about the Inuvialuit and spending time on the land. Schweig admitted his knowledge about the Inuvialuit is limited to what he has read in books.That is why he wants to come back soon so he can find out” what I am and where I come from”. “It’s like reading about a roller coaster”, he explained. “it’s a lot more fun to ride it (than read about it.)” Schweig, an Inuvialuit beneficiary, said he is getting the information on enrolling under the claim but doesn’t want any financial benefits. He’d rather that go to someone who needs it.” I try to be self-sufficient.

     

    ” Schweig spent much of his childhood north of Toronto.When he was 16 years old Schweig left home and headed for Toronto. That is where he got his first start as an actor. He was walking down the street and a guy told him a producer was looking for Indians to act in a low-budget film. Schweig, figuring he could act, went in and then landed the lead in the picture. After that movie he got a video tape of his best scenes, found himself an agent and eventually wound up in the Last of the Mohicans. His role as Uncas,the lead’s brother, in that movie was his big break.But Schweig said acting isn’t his life. “ I’m not a career-oriented person”, explained Schweig.” I just do it for fun like my roller-bladeing.

     

    ” He was heading for Los Angeles,after spending the night in Edmonton Friday,where he was scheduled to do a voice-over for an animated feature. Schweig said he has several different options right now and expects to be busy in late spring."


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    Black Elk (Hehaka Sapa) soit en français Elan Noir  ou Wapiti Noir (1863 - 1950) était un docteur et homme sacré de la tribu des indiens Lakota (Sioux). Il fut un petit cousin du célèbre chef indien Crazy Horse. Il participa très jeune à la bataille de Little Big Horn en 1876 et fut blessé en 1890 lors du massacre de Wounded Knee. En 1887, il voyaga en Angleterre au sein du spectacle Wild Wild West de Buffalo Bill - dans le cadre de ce qu'il décrivit ultérieurement comme une pénible expérience (au chapitre 20 du recueil de souvenir publié sous le titre Black Elk Speaks (Elan Noir raconte).

    Ses mémoires retrancrits par John Neihardt et à Joseph Epes Brown révélant certains rituels lakotas furent un succès de librairie.


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